Faites poser un système d’arrosage par un jardinier paysagiste
Un système d’arrosage dimensionné selon la surface, la pression et les besoins hydriques de vos plantations, installé par un jardinier paysagiste qualifié.
Installer un système d'arrosage : la démarche du paysagiste
Analyse du terrain et des besoins
Conception du plan d'arrosage
Choix du matériel et du système d'arrosage
Installation du réseau
Programmation et réglage
Vérification, tests et conseils d'entretien
Installer un système d'arrosage : la démarche du paysagiste
Analyse du terrain et des besoins
Conception du plan d'arrosage
Choix du matériel et du système d'arrosage
Installation du réseau
Programmation et réglage
Vérification, tests et conseils d'entretien
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Analyse du terrain et des besoins
Conception du plan d'arrosage
Choix du matériel et du système d'arrosage
Installation du réseau
Programmation et réglage
Vérification, tests et conseils d'entretien
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Analyse du terrain et des besoins
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Choix du matériel et du système d'arrosage
Installation du réseau
Programmation et réglage
Vérification, tests et conseils d'entretien
Les quatre types d'arrosage pour votre jardin
Les quatre types d'arrosage pour votre jardin
Les quatre types d'arrosage pour votre jardin
L’arrosage manuel
L’arrosage manuel est la méthode la plus intuitive : arrosoir ou tuyau en main, vous distribuez l’eau là où elle est nécessaire. Ce type d’arrosage vous permet d’entretenir une relation de proximité avec votre jardin. C’est l’occasion idéale pour observer vos plantes de près, détecter d’éventuels signes de maladies, de parasites ou de stress hydrique. Cependant, si vous disposez d’un grand espace extérieur, cette méthode peut vite devenir fastidieuse. Elle demande du temps, surtout en période estivale où les besoins en eau sont plus importants. Elle reste néanmoins parfaitement adaptée aux petits jardins, potagers urbains ou zones spécifiques à surveiller de près.
L’arrosage manuel
L’arrosage manuel est la méthode la plus intuitive : arrosoir ou tuyau en main, vous distribuez l’eau là où elle est nécessaire. Ce type d’arrosage vous permet d’entretenir une relation de proximité avec votre jardin. C’est l’occasion idéale pour observer vos plantes de près, détecter d’éventuels signes de maladies, de parasites ou de stress hydrique. Cependant, si vous disposez d’un grand espace extérieur, cette méthode peut vite devenir fastidieuse. Elle demande du temps, surtout en période estivale où les besoins en eau sont plus importants. Elle reste néanmoins parfaitement adaptée aux petits jardins, potagers urbains ou zones spécifiques à surveiller de près.
L’arrosage manuel
L’arrosage manuel est la méthode la plus intuitive : arrosoir ou tuyau en main, vous distribuez l’eau là où elle est nécessaire. Ce type d’arrosage vous permet d’entretenir une relation de proximité avec votre jardin. C’est l’occasion idéale pour observer vos plantes de près, détecter d’éventuels signes de maladies, de parasites ou de stress hydrique. Cependant, si vous disposez d’un grand espace extérieur, cette méthode peut vite devenir fastidieuse. Elle demande du temps, surtout en période estivale où les besoins en eau sont plus importants. Elle reste néanmoins parfaitement adaptée aux petits jardins, potagers urbains ou zones spécifiques à surveiller de près.
L’arrosage manuel
L’arrosage manuel est la méthode la plus intuitive : arrosoir ou tuyau en main, vous distribuez l’eau là où elle est nécessaire. Ce type d’arrosage vous permet d’entretenir une relation de proximité avec votre jardin. C’est l’occasion idéale pour observer vos plantes de près, détecter d’éventuels signes de maladies, de parasites ou de stress hydrique. Cependant, si vous disposez d’un grand espace extérieur, cette méthode peut vite devenir fastidieuse. Elle demande du temps, surtout en période estivale où les besoins en eau sont plus importants. Elle reste néanmoins parfaitement adaptée aux petits jardins, potagers urbains ou zones spécifiques à surveiller de près.
L’arrosage de surface
Très apprécié pour sa simplicité de mise en œuvre, l’arrosage de surface repose sur un système de tuyaux posés au sol et reliés à des dispositifs d’arrosage que vous pouvez déplacer facilement selon vos besoins. Ce système ne nécessite aucun creusement ni installation complexe, ce qui le rend accessible à tous. Il est particulièrement adapté aux jardins de petite à moyenne taille. Vous pouvez choisir parmi une grande variété de têtes d’arrosage (oscillantes, rotatives, en pluie fine...) afin d’ajuster la diffusion de l’eau à la morphologie de votre terrain. Certains jardiniers paysagistes recommandent également l’usage d’arroseurs souples – des tuyaux micro-perforés – pour irriguer de longues zones comme les haies ou les massifs linéaires. Ils arrosent au pied des plantes avec une grande finesse tout en limitant le gaspillage d’eau. En revanche, ce système présente quelques limites : la présence permanente de tuyaux sur la pelouse peut gêner le passage, nuire à l’esthétique du jardin et compliquer la tonte. De plus, les tuyaux exposés aux intempéries s’usent plus rapidement, et les multiples raccords augmentent le risque de fuites.
L’arrosage de surface
Très apprécié pour sa simplicité de mise en œuvre, l’arrosage de surface repose sur un système de tuyaux posés au sol et reliés à des dispositifs d’arrosage que vous pouvez déplacer facilement selon vos besoins. Ce système ne nécessite aucun creusement ni installation complexe, ce qui le rend accessible à tous. Il est particulièrement adapté aux jardins de petite à moyenne taille. Vous pouvez choisir parmi une grande variété de têtes d’arrosage (oscillantes, rotatives, en pluie fine...) afin d’ajuster la diffusion de l’eau à la morphologie de votre terrain. Certains jardiniers paysagistes recommandent également l’usage d’arroseurs souples – des tuyaux micro-perforés – pour irriguer de longues zones comme les haies ou les massifs linéaires. Ils arrosent au pied des plantes avec une grande finesse tout en limitant le gaspillage d’eau. En revanche, ce système présente quelques limites : la présence permanente de tuyaux sur la pelouse peut gêner le passage, nuire à l’esthétique du jardin et compliquer la tonte. De plus, les tuyaux exposés aux intempéries s’usent plus rapidement, et les multiples raccords augmentent le risque de fuites.
L’arrosage de surface
Très apprécié pour sa simplicité de mise en œuvre, l’arrosage de surface repose sur un système de tuyaux posés au sol et reliés à des dispositifs d’arrosage que vous pouvez déplacer facilement selon vos besoins. Ce système ne nécessite aucun creusement ni installation complexe, ce qui le rend accessible à tous. Il est particulièrement adapté aux jardins de petite à moyenne taille. Vous pouvez choisir parmi une grande variété de têtes d’arrosage (oscillantes, rotatives, en pluie fine...) afin d’ajuster la diffusion de l’eau à la morphologie de votre terrain. Certains jardiniers paysagistes recommandent également l’usage d’arroseurs souples – des tuyaux micro-perforés – pour irriguer de longues zones comme les haies ou les massifs linéaires. Ils arrosent au pied des plantes avec une grande finesse tout en limitant le gaspillage d’eau. En revanche, ce système présente quelques limites : la présence permanente de tuyaux sur la pelouse peut gêner le passage, nuire à l’esthétique du jardin et compliquer la tonte. De plus, les tuyaux exposés aux intempéries s’usent plus rapidement, et les multiples raccords augmentent le risque de fuites.
L’arrosage de surface
Très apprécié pour sa simplicité de mise en œuvre, l’arrosage de surface repose sur un système de tuyaux posés au sol et reliés à des dispositifs d’arrosage que vous pouvez déplacer facilement selon vos besoins. Ce système ne nécessite aucun creusement ni installation complexe, ce qui le rend accessible à tous. Il est particulièrement adapté aux jardins de petite à moyenne taille. Vous pouvez choisir parmi une grande variété de têtes d’arrosage (oscillantes, rotatives, en pluie fine...) afin d’ajuster la diffusion de l’eau à la morphologie de votre terrain. Certains jardiniers paysagistes recommandent également l’usage d’arroseurs souples – des tuyaux micro-perforés – pour irriguer de longues zones comme les haies ou les massifs linéaires. Ils arrosent au pied des plantes avec une grande finesse tout en limitant le gaspillage d’eau. En revanche, ce système présente quelques limites : la présence permanente de tuyaux sur la pelouse peut gêner le passage, nuire à l’esthétique du jardin et compliquer la tonte. De plus, les tuyaux exposés aux intempéries s’usent plus rapidement, et les multiples raccords augmentent le risque de fuites.
L’arrosage enterré
L’arrosage enterré est une solution pérenne, à la fois discrète et confortable. Les tuyaux sont enfouis sous la surface du sol, alimentant des arroseurs fixes ou escamotables qui sortent automatiquement lors de l’arrosage. Une fois le cycle terminé, ils disparaissent dans le sol, vous laissant un jardin parfaitement dégagé, sans tuyau apparent. C’est une option idéale pour les grandes surfaces ou les jardins que l’on souhaite entretenir sans contrainte visuelle ni logistique. Elle offre également une grande efficacité d’irrigation, notamment si elle est couplée à un système de programmation automatique. Ce type d’installation demande cependant des travaux plus lourds : creuser des tranchées, installer les tuyaux, régler les têtes d’arrosage... Le coût global, entre le matériel et la pose, peut être conséquent. Et en cas de problème technique, l’accès au système est moins immédiat qu’avec un arrosage en surface. C’est pourquoi l’intervention d’un jardinier paysagiste est souvent conseillée pour garantir un fonctionnement optimal et durable.
L’arrosage enterré
L’arrosage enterré est une solution pérenne, à la fois discrète et confortable. Les tuyaux sont enfouis sous la surface du sol, alimentant des arroseurs fixes ou escamotables qui sortent automatiquement lors de l’arrosage. Une fois le cycle terminé, ils disparaissent dans le sol, vous laissant un jardin parfaitement dégagé, sans tuyau apparent. C’est une option idéale pour les grandes surfaces ou les jardins que l’on souhaite entretenir sans contrainte visuelle ni logistique. Elle offre également une grande efficacité d’irrigation, notamment si elle est couplée à un système de programmation automatique. Ce type d’installation demande cependant des travaux plus lourds : creuser des tranchées, installer les tuyaux, régler les têtes d’arrosage... Le coût global, entre le matériel et la pose, peut être conséquent. Et en cas de problème technique, l’accès au système est moins immédiat qu’avec un arrosage en surface. C’est pourquoi l’intervention d’un jardinier paysagiste est souvent conseillée pour garantir un fonctionnement optimal et durable.
L’arrosage enterré
L’arrosage enterré est une solution pérenne, à la fois discrète et confortable. Les tuyaux sont enfouis sous la surface du sol, alimentant des arroseurs fixes ou escamotables qui sortent automatiquement lors de l’arrosage. Une fois le cycle terminé, ils disparaissent dans le sol, vous laissant un jardin parfaitement dégagé, sans tuyau apparent. C’est une option idéale pour les grandes surfaces ou les jardins que l’on souhaite entretenir sans contrainte visuelle ni logistique. Elle offre également une grande efficacité d’irrigation, notamment si elle est couplée à un système de programmation automatique. Ce type d’installation demande cependant des travaux plus lourds : creuser des tranchées, installer les tuyaux, régler les têtes d’arrosage... Le coût global, entre le matériel et la pose, peut être conséquent. Et en cas de problème technique, l’accès au système est moins immédiat qu’avec un arrosage en surface. C’est pourquoi l’intervention d’un jardinier paysagiste est souvent conseillée pour garantir un fonctionnement optimal et durable.
L’arrosage enterré
L’arrosage enterré est une solution pérenne, à la fois discrète et confortable. Les tuyaux sont enfouis sous la surface du sol, alimentant des arroseurs fixes ou escamotables qui sortent automatiquement lors de l’arrosage. Une fois le cycle terminé, ils disparaissent dans le sol, vous laissant un jardin parfaitement dégagé, sans tuyau apparent. C’est une option idéale pour les grandes surfaces ou les jardins que l’on souhaite entretenir sans contrainte visuelle ni logistique. Elle offre également une grande efficacité d’irrigation, notamment si elle est couplée à un système de programmation automatique. Ce type d’installation demande cependant des travaux plus lourds : creuser des tranchées, installer les tuyaux, régler les têtes d’arrosage... Le coût global, entre le matériel et la pose, peut être conséquent. Et en cas de problème technique, l’accès au système est moins immédiat qu’avec un arrosage en surface. C’est pourquoi l’intervention d’un jardinier paysagiste est souvent conseillée pour garantir un fonctionnement optimal et durable.
L’arrosage automatique
L’arrosage automatique séduit de plus en plus de particuliers souhaitant un jardin bien entretenu sans y consacrer trop de temps. Il repose sur un programmateur relié à un ou plusieurs réseaux de tuyaux. Celui-ci ouvre et ferme les électrovannes aux heures souhaitées, selon les jours et la durée programmée. Certains modèles prennent même en compte le débit d’eau, ou se connectent à des sondes qui mesurent l’humidité du sol pour ajuster les cycles en fonction des besoins réels. Une version plus avancée permet de piloter le système à distance, via une application connectée en wifi. Vous pouvez ainsi modifier les horaires, déclencher un arrosage ou l’interrompre en cas d’orage prévu, même en étant en vacances. Ce système peut être enterré ou non : les jardiniers paysagistes intègrent souvent les réseaux au sol pour un rendu propre et durable. Les arroseurs sortent automatiquement pendant l’arrosage, puis se rétractent, évitant ainsi toute gêne. Toutefois, il est également possible de brancher un programmateur simple sur des tuyaux de surface, pour bénéficier d’une automatisation sans travaux lourds. Outre le gain de temps, l’arrosage automatique permet une meilleure maîtrise de la consommation d’eau. Vous arrosez uniquement ce qui est nécessaire, à la bonne heure (généralement tôt le matin ou en soirée), ce qui limite l’évaporation et améliore l’absorption par les plantes
L’arrosage automatique
L’arrosage automatique séduit de plus en plus de particuliers souhaitant un jardin bien entretenu sans y consacrer trop de temps. Il repose sur un programmateur relié à un ou plusieurs réseaux de tuyaux. Celui-ci ouvre et ferme les électrovannes aux heures souhaitées, selon les jours et la durée programmée. Certains modèles prennent même en compte le débit d’eau, ou se connectent à des sondes qui mesurent l’humidité du sol pour ajuster les cycles en fonction des besoins réels. Une version plus avancée permet de piloter le système à distance, via une application connectée en wifi. Vous pouvez ainsi modifier les horaires, déclencher un arrosage ou l’interrompre en cas d’orage prévu, même en étant en vacances. Ce système peut être enterré ou non : les jardiniers paysagistes intègrent souvent les réseaux au sol pour un rendu propre et durable. Les arroseurs sortent automatiquement pendant l’arrosage, puis se rétractent, évitant ainsi toute gêne. Toutefois, il est également possible de brancher un programmateur simple sur des tuyaux de surface, pour bénéficier d’une automatisation sans travaux lourds. Outre le gain de temps, l’arrosage automatique permet une meilleure maîtrise de la consommation d’eau. Vous arrosez uniquement ce qui est nécessaire, à la bonne heure (généralement tôt le matin ou en soirée), ce qui limite l’évaporation et améliore l’absorption par les plantes
L’arrosage automatique
L’arrosage automatique séduit de plus en plus de particuliers souhaitant un jardin bien entretenu sans y consacrer trop de temps. Il repose sur un programmateur relié à un ou plusieurs réseaux de tuyaux. Celui-ci ouvre et ferme les électrovannes aux heures souhaitées, selon les jours et la durée programmée. Certains modèles prennent même en compte le débit d’eau, ou se connectent à des sondes qui mesurent l’humidité du sol pour ajuster les cycles en fonction des besoins réels. Une version plus avancée permet de piloter le système à distance, via une application connectée en wifi. Vous pouvez ainsi modifier les horaires, déclencher un arrosage ou l’interrompre en cas d’orage prévu, même en étant en vacances. Ce système peut être enterré ou non : les jardiniers paysagistes intègrent souvent les réseaux au sol pour un rendu propre et durable. Les arroseurs sortent automatiquement pendant l’arrosage, puis se rétractent, évitant ainsi toute gêne. Toutefois, il est également possible de brancher un programmateur simple sur des tuyaux de surface, pour bénéficier d’une automatisation sans travaux lourds. Outre le gain de temps, l’arrosage automatique permet une meilleure maîtrise de la consommation d’eau. Vous arrosez uniquement ce qui est nécessaire, à la bonne heure (généralement tôt le matin ou en soirée), ce qui limite l’évaporation et améliore l’absorption par les plantes
L’arrosage automatique
L’arrosage automatique séduit de plus en plus de particuliers souhaitant un jardin bien entretenu sans y consacrer trop de temps. Il repose sur un programmateur relié à un ou plusieurs réseaux de tuyaux. Celui-ci ouvre et ferme les électrovannes aux heures souhaitées, selon les jours et la durée programmée. Certains modèles prennent même en compte le débit d’eau, ou se connectent à des sondes qui mesurent l’humidité du sol pour ajuster les cycles en fonction des besoins réels. Une version plus avancée permet de piloter le système à distance, via une application connectée en wifi. Vous pouvez ainsi modifier les horaires, déclencher un arrosage ou l’interrompre en cas d’orage prévu, même en étant en vacances. Ce système peut être enterré ou non : les jardiniers paysagistes intègrent souvent les réseaux au sol pour un rendu propre et durable. Les arroseurs sortent automatiquement pendant l’arrosage, puis se rétractent, évitant ainsi toute gêne. Toutefois, il est également possible de brancher un programmateur simple sur des tuyaux de surface, pour bénéficier d’une automatisation sans travaux lourds. Outre le gain de temps, l’arrosage automatique permet une meilleure maîtrise de la consommation d’eau. Vous arrosez uniquement ce qui est nécessaire, à la bonne heure (généralement tôt le matin ou en soirée), ce qui limite l’évaporation et améliore l’absorption par les plantes
Bénéficiez du crédit d'impôt sur l'entretien de votre jardin
Faites entretenir votre jardin par un paysagiste professionnel et profitez d’un avantage fiscal.
50 % du montant de la prestation remboursé
Éligible à l’avance immédiate de l’Urssaf
Des professionnels qualifiés pour l'entretien de votre jardin
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Des professionnels qualifiés pour l'entretien de votre jardin
Quand arroser son jardin ?
Tout le monde a entendu dire qu'il ne faut pas arroser les plantes à midi, sous le soleil brûlant. Mais alors à quelle heure, au juste, sortir son arrosoir?
Eviter les heures les plus chaudes
Arroser en plein milieu de journée, notamment entre 11h et 16h, est fortement déconseillé. Sous l’effet du soleil, l’eau s’évapore avant même d’atteindre les racines. De plus, les plantes, lorsqu’elles sont exposées à une forte chaleur, ferment leurs stomates pour se protéger, ce qui limite leur capacité à absorber l’eau. Résultat : vous gaspillez une ressource précieuse sans réel bénéfice pour vos végétaux.
Arroser le matin : le bon réflexe au printemps et en automne
Lorsque les températures sont encore douces, comme au printemps ou à l’automne, il est préférable d’arroser tôt le matin. Cela permet au feuillage de sécher progressivement au cours de la journée, limitant les risques de maladies fongiques. C’est également un bon moyen de réduire le choc thermique et de prévenir les brûlures causées par la réverbération du soleil sur les gouttes d’eau.
Arroser le soir : une solution efficace en été
En période estivale, lorsque les journées sont longues et chaudes, l’arrosage du soir est souvent recommandé. Les températures ayant baissé, l’eau pénètre plus facilement dans le sol et reste disponible plus longtemps pour les racines. Les plantes peuvent ainsi mieux reconstituer leurs réserves hydriques pendant la nuit. Attention cependant : un sol humide durant la nuit peut favoriser l’apparition de champignons ou attirer certains insectes indésirables. Veillez à ne pas mouiller le feuillage, surtout pour les plantes sensibles.
Adapter l’arrosage à l’état du sol
Inutile d’arroser systématiquement tous les jours. La meilleure approche consiste à vérifier manuellement si le sol est encore humide : en enfonçant un doigt ou en grattant légèrement, vous saurez si un nouvel arrosage est nécessaire. L’idéal est d’arroser moins souvent mais plus abondamment. Cela encourage les racines à s’enfoncer en profondeur, rendant vos plantes plus autonomes et résistantes à la sécheresse
Surveillez la météo avant de sortir l’arrosoir
Enfin, pensez à prendre en compte les prévisions météorologiques. Un arrosage la veille d’une averse est inutile et peut même provoquer un excès d’humidité néfaste pour certaines plantes. En laissant la nature jouer son rôle quand elle le peut, vous économisez de l’eau et respectez le rythme naturel de votre jardin. C’est aussi cela, le bon sens paysager.
Quand arroser son jardin ?
Tout le monde a entendu dire qu'il ne faut pas arroser les plantes à midi, sous le soleil brûlant. Mais alors à quelle heure, au juste, sortir son arrosoir?
Eviter les heures les plus chaudes
Arroser en plein milieu de journée, notamment entre 11h et 16h, est fortement déconseillé. Sous l’effet du soleil, l’eau s’évapore avant même d’atteindre les racines. De plus, les plantes, lorsqu’elles sont exposées à une forte chaleur, ferment leurs stomates pour se protéger, ce qui limite leur capacité à absorber l’eau. Résultat : vous gaspillez une ressource précieuse sans réel bénéfice pour vos végétaux.
Arroser le matin : le bon réflexe au printemps et en automne
Lorsque les températures sont encore douces, comme au printemps ou à l’automne, il est préférable d’arroser tôt le matin. Cela permet au feuillage de sécher progressivement au cours de la journée, limitant les risques de maladies fongiques. C’est également un bon moyen de réduire le choc thermique et de prévenir les brûlures causées par la réverbération du soleil sur les gouttes d’eau.
Arroser le soir : une solution efficace en été
En période estivale, lorsque les journées sont longues et chaudes, l’arrosage du soir est souvent recommandé. Les températures ayant baissé, l’eau pénètre plus facilement dans le sol et reste disponible plus longtemps pour les racines. Les plantes peuvent ainsi mieux reconstituer leurs réserves hydriques pendant la nuit. Attention cependant : un sol humide durant la nuit peut favoriser l’apparition de champignons ou attirer certains insectes indésirables. Veillez à ne pas mouiller le feuillage, surtout pour les plantes sensibles.
Adapter l’arrosage à l’état du sol
Inutile d’arroser systématiquement tous les jours. La meilleure approche consiste à vérifier manuellement si le sol est encore humide : en enfonçant un doigt ou en grattant légèrement, vous saurez si un nouvel arrosage est nécessaire. L’idéal est d’arroser moins souvent mais plus abondamment. Cela encourage les racines à s’enfoncer en profondeur, rendant vos plantes plus autonomes et résistantes à la sécheresse
Surveillez la météo avant de sortir l’arrosoir
Enfin, pensez à prendre en compte les prévisions météorologiques. Un arrosage la veille d’une averse est inutile et peut même provoquer un excès d’humidité néfaste pour certaines plantes. En laissant la nature jouer son rôle quand elle le peut, vous économisez de l’eau et respectez le rythme naturel de votre jardin. C’est aussi cela, le bon sens paysager.
Quand arroser son jardin ?
Tout le monde a entendu dire qu'il ne faut pas arroser les plantes à midi, sous le soleil brûlant. Mais alors à quelle heure, au juste, sortir son arrosoir?
Eviter les heures les plus chaudes
Arroser en plein milieu de journée, notamment entre 11h et 16h, est fortement déconseillé. Sous l’effet du soleil, l’eau s’évapore avant même d’atteindre les racines. De plus, les plantes, lorsqu’elles sont exposées à une forte chaleur, ferment leurs stomates pour se protéger, ce qui limite leur capacité à absorber l’eau. Résultat : vous gaspillez une ressource précieuse sans réel bénéfice pour vos végétaux.
Arroser le matin : le bon réflexe au printemps et en automne
Lorsque les températures sont encore douces, comme au printemps ou à l’automne, il est préférable d’arroser tôt le matin. Cela permet au feuillage de sécher progressivement au cours de la journée, limitant les risques de maladies fongiques. C’est également un bon moyen de réduire le choc thermique et de prévenir les brûlures causées par la réverbération du soleil sur les gouttes d’eau.
Arroser le soir : une solution efficace en été
En période estivale, lorsque les journées sont longues et chaudes, l’arrosage du soir est souvent recommandé. Les températures ayant baissé, l’eau pénètre plus facilement dans le sol et reste disponible plus longtemps pour les racines. Les plantes peuvent ainsi mieux reconstituer leurs réserves hydriques pendant la nuit. Attention cependant : un sol humide durant la nuit peut favoriser l’apparition de champignons ou attirer certains insectes indésirables. Veillez à ne pas mouiller le feuillage, surtout pour les plantes sensibles.
Adapter l’arrosage à l’état du sol
Inutile d’arroser systématiquement tous les jours. La meilleure approche consiste à vérifier manuellement si le sol est encore humide : en enfonçant un doigt ou en grattant légèrement, vous saurez si un nouvel arrosage est nécessaire. L’idéal est d’arroser moins souvent mais plus abondamment. Cela encourage les racines à s’enfoncer en profondeur, rendant vos plantes plus autonomes et résistantes à la sécheresse
Surveillez la météo avant de sortir l’arrosoir
Enfin, pensez à prendre en compte les prévisions météorologiques. Un arrosage la veille d’une averse est inutile et peut même provoquer un excès d’humidité néfaste pour certaines plantes. En laissant la nature jouer son rôle quand elle le peut, vous économisez de l’eau et respectez le rythme naturel de votre jardin. C’est aussi cela, le bon sens paysager.
Des prestations sur-mesure pour votre jardin
Nos interventions comprennent :
L'intervention de paysagistes professionnels qualifiés et sélectionnés
Une analyse personnalisée de vos besoins et de votre terrain
Une conception sur-mesure d’aménagements esthétiques et durables
Un suivi régulier et entretien adapté à chaque saison
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Des prestations sur-mesure pour votre jardin
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Un suivi régulier et entretien adapté à chaque saison
Comment bien arroser votre jardin ? Les 5 bons gestes
Bien arroser ne signifie pas seulement verser de l’eau sur vos plantes. Il s’agit d’un savoir-faire simple mais précis, que les jardiniers paysagistes appliquent au quotidien pour préserver la santé et l’équilibre du jardin. Voici les bons réflexes à adopter.
Arroser au pied, pas sur les feuilles
L’arrosage doit toujours être ciblé à la base de la plante, directement au niveau du sol. Cela permet à l’eau d’atteindre les racines efficacement, sans endommager les tiges ni détremper le feuillage. Mouiller les feuilles, surtout en période chaude ou humide, favorise l’apparition de maladies cryptogamiques comme l’oïdium ou le mildiou. Un arrosage bien placé est donc aussi un geste de prévention.
Privilégier un débit modéré
Utilisez un jet doux, sans pression excessive. Un arrosage trop fort risque de tasser le sol, d’éroder les racines ou même de casser les jeunes pousses. Que vous utilisiez un arrosoir, une lance ou un tuyau d’arrosage, veillez à contrôler le débit pour que l’eau pénètre lentement mais sûrement dans le sol, sans ruisseler inutilement.
Arroser en deux temps pour une meilleure absorption
Un bon arrosage se fait idéalement en deux passages. Le premier, léger, sert à humidifier la surface du sol. Le second, plus abondant, permet à l’eau de s’infiltrer en profondeur et d’atteindre le cœur du système racinaire. Ce double passage limite le ruissellement et garantit une répartition homogène de l’humidité.
Espacer les arrosages, mais les rendre généreux
Mieux vaut arroser moins souvent, mais avec une bonne quantité d’eau. Cette méthode encourage les plantes à développer leurs racines en profondeur, ce qui les rend plus autonomes et plus résistantes aux épisodes de chaleur ou de sécheresse. À l’inverse, des arrosages trop fréquents mais superficiels incitent les racines à rester en surface, ce qui fragilise la plante à long terme.
Ne pas sur-arroser, même en cas de canicule
Face à la chaleur, il peut être tentant de multiplier les arrosages. Pourtant, l’excès d’eau peut asphyxier les racines, favoriser le développement de champignons ou déséquilibrer la croissance de la plante. Certaines végétations, trop arrosées, vont produire du feuillage au détriment des fleurs ou des fruits. Écoutez le rythme naturel de votre jardin : un bon arrosage ne se mesure pas à sa fréquence, mais à sa pertinence.
Comment bien arroser votre jardin ? Les 5 bons gestes
Bien arroser ne signifie pas seulement verser de l’eau sur vos plantes. Il s’agit d’un savoir-faire simple mais précis, que les jardiniers paysagistes appliquent au quotidien pour préserver la santé et l’équilibre du jardin. Voici les bons réflexes à adopter.
Arroser au pied, pas sur les feuilles
L’arrosage doit toujours être ciblé à la base de la plante, directement au niveau du sol. Cela permet à l’eau d’atteindre les racines efficacement, sans endommager les tiges ni détremper le feuillage. Mouiller les feuilles, surtout en période chaude ou humide, favorise l’apparition de maladies cryptogamiques comme l’oïdium ou le mildiou. Un arrosage bien placé est donc aussi un geste de prévention.
Privilégier un débit modéré
Utilisez un jet doux, sans pression excessive. Un arrosage trop fort risque de tasser le sol, d’éroder les racines ou même de casser les jeunes pousses. Que vous utilisiez un arrosoir, une lance ou un tuyau d’arrosage, veillez à contrôler le débit pour que l’eau pénètre lentement mais sûrement dans le sol, sans ruisseler inutilement.
Arroser en deux temps pour une meilleure absorption
Un bon arrosage se fait idéalement en deux passages. Le premier, léger, sert à humidifier la surface du sol. Le second, plus abondant, permet à l’eau de s’infiltrer en profondeur et d’atteindre le cœur du système racinaire. Ce double passage limite le ruissellement et garantit une répartition homogène de l’humidité.
Espacer les arrosages, mais les rendre généreux
Mieux vaut arroser moins souvent, mais avec une bonne quantité d’eau. Cette méthode encourage les plantes à développer leurs racines en profondeur, ce qui les rend plus autonomes et plus résistantes aux épisodes de chaleur ou de sécheresse. À l’inverse, des arrosages trop fréquents mais superficiels incitent les racines à rester en surface, ce qui fragilise la plante à long terme.
Ne pas sur-arroser, même en cas de canicule
Face à la chaleur, il peut être tentant de multiplier les arrosages. Pourtant, l’excès d’eau peut asphyxier les racines, favoriser le développement de champignons ou déséquilibrer la croissance de la plante. Certaines végétations, trop arrosées, vont produire du feuillage au détriment des fleurs ou des fruits. Écoutez le rythme naturel de votre jardin : un bon arrosage ne se mesure pas à sa fréquence, mais à sa pertinence.
Comment bien arroser votre jardin ? Les 5 bons gestes
Bien arroser ne signifie pas seulement verser de l’eau sur vos plantes. Il s’agit d’un savoir-faire simple mais précis, que les jardiniers paysagistes appliquent au quotidien pour préserver la santé et l’équilibre du jardin. Voici les bons réflexes à adopter.
Arroser au pied, pas sur les feuilles
L’arrosage doit toujours être ciblé à la base de la plante, directement au niveau du sol. Cela permet à l’eau d’atteindre les racines efficacement, sans endommager les tiges ni détremper le feuillage. Mouiller les feuilles, surtout en période chaude ou humide, favorise l’apparition de maladies cryptogamiques comme l’oïdium ou le mildiou. Un arrosage bien placé est donc aussi un geste de prévention.
Privilégier un débit modéré
Utilisez un jet doux, sans pression excessive. Un arrosage trop fort risque de tasser le sol, d’éroder les racines ou même de casser les jeunes pousses. Que vous utilisiez un arrosoir, une lance ou un tuyau d’arrosage, veillez à contrôler le débit pour que l’eau pénètre lentement mais sûrement dans le sol, sans ruisseler inutilement.
Arroser en deux temps pour une meilleure absorption
Un bon arrosage se fait idéalement en deux passages. Le premier, léger, sert à humidifier la surface du sol. Le second, plus abondant, permet à l’eau de s’infiltrer en profondeur et d’atteindre le cœur du système racinaire. Ce double passage limite le ruissellement et garantit une répartition homogène de l’humidité.
Espacer les arrosages, mais les rendre généreux
Mieux vaut arroser moins souvent, mais avec une bonne quantité d’eau. Cette méthode encourage les plantes à développer leurs racines en profondeur, ce qui les rend plus autonomes et plus résistantes aux épisodes de chaleur ou de sécheresse. À l’inverse, des arrosages trop fréquents mais superficiels incitent les racines à rester en surface, ce qui fragilise la plante à long terme.
Ne pas sur-arroser, même en cas de canicule
Face à la chaleur, il peut être tentant de multiplier les arrosages. Pourtant, l’excès d’eau peut asphyxier les racines, favoriser le développement de champignons ou déséquilibrer la croissance de la plante. Certaines végétations, trop arrosées, vont produire du feuillage au détriment des fleurs ou des fruits. Écoutez le rythme naturel de votre jardin : un bon arrosage ne se mesure pas à sa fréquence, mais à sa pertinence.
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Quels arroseurs choisir pour un arrosage adapté à votre jardin ?
Les arroseurs pour les réseaux à pression normale
L’arroseur rotatif
Fixé au sol, en bout de tuyau, l’arroseur rotatif projette l’eau en tournant sous la pression du réseau. Il couvre une zone circulaire ou semi-circulaire, réglable selon le modèle. Il peut arroser une surface de 4 à 20 mètres, avec différents types de jets : pluie fine, brume légère ou jet plus concentré. Facile à utiliser et à installer, il convient aussi bien à des pelouses qu’à des massifs, dès lors que la pression est suffisante.
L’arroseur oscillant
Composé d’une rampe qui oscille de gauche à droite, cet arroseur projette de fins jets d’eau en éventail. Il est parfait pour les surfaces rectangulaires, notamment les pelouses. Sa portée est généralement réglable en longueur et en largeur. Certains modèles intègrent une minuterie, pratique pour des zones sans programmateur. En revanche, sur des jardins de formes irrégulières, il peut y avoir perte d’eau ou zones mal couvertes.
L’arroseur canon
C’est l’arroseur des grands espaces. Il projette l’eau par saccades puissantes sur de très grandes distances. Fréquemment utilisé en milieu agricole, il peut néanmoins convenir à de très vastes jardins. Sa portée est réglable, mais son débit important le rend peu adapté aux petits espaces ou aux massifs délicats.
L’arroseur multisurfaces
Ce type d’arroseur offre une grande flexibilité. Grâce à des réglages simples, vous pouvez l’adapter à différentes formes de jardin : rond, carré, ellipse, rectangle… Il convient parfaitement aux jardins aux géométries complexes et permet une gestion précise de l’arrosage, même en surface.
Les tuyaux arroseurs
Il s’agit de tuyaux souples perforés, qui diffusent une pluie fine sur toute leur longueur. Placés directement sur le sol ou légèrement enfouis, ils permettent un arrosage homogène, idéal pour les longues bandes végétales, les haies ou les rangs de potager. La pression modérée assure une diffusion douce, sans abîmer les plantes.
Les arroseurs fixes et enterrés
Les tuyères
Ce sont de petits asperseurs fixes, intégrés dans un réseau enterré. La buse sort légèrement du sol pour projeter une pluie fine sur une zone circulaire ou semi-circulaire de 2 à 5 mètres. Ce système est particulièrement adapté aux petits espaces, massifs, bordures ou zones complexes. Attention : la pression est limitée, ce qui restreint la portée.
Les turbines
Plus puissantes que les tuyères, les turbines sont également fixées sur un réseau enterré mais permettent d’arroser de plus grandes surfaces, jusqu’à 10 mètres ou plus. Elles sont parfaites pour les grandes pelouses. Il est essentiel de ne pas mélanger tuyères et turbines sur un même réseau, car leurs besoins en pression et débit sont différents.
Les systèmes pour les réseaux à basse pression
La micro-aspersion
Ce système envoie une fine brume d’eau à basse pression, via de petits asperseurs. Très douce, cette méthode est idéale pour les plantes buissonnantes, les arbustes ou les jeunes plants sensibles. Elle respecte la structure des feuillages tout en assurant une bonne hydratation. Son installation est simple et particulièrement économique en eau.
La micro-irrigation
L’arrosage goutte-à-goutte est une solution très précise et efficace, notamment pour les potagers, les massifs fleuris et les haies. Il existe deux types de systèmes :
Les tuyaux poreux : Ils laissent s’échapper l’eau lentement sur toute leur longueur, en surface ou légèrement enterrés. Cela permet un arrosage constant au pied des plantes. Ce système limite l’évaporation et évite que les feuilles ne soient mouillées, réduisant ainsi les maladies. On privilégiera leur usage sur de longues distances ou lignes droites.
Les goutteurs : Chaque goutteur est placé au pied d’une plante et libère l’eau de façon ciblée. Le débit peut être ajusté selon les besoins spécifiques. La pose nécessite un peu de planification, mais le résultat est extrêmement efficace, notamment dans les jardins variés où chaque plante a ses exigences.
Quels arroseurs choisir pour un arrosage adapté à votre jardin ?
Les arroseurs pour les réseaux à pression normale
L’arroseur rotatif
Fixé au sol, en bout de tuyau, l’arroseur rotatif projette l’eau en tournant sous la pression du réseau. Il couvre une zone circulaire ou semi-circulaire, réglable selon le modèle. Il peut arroser une surface de 4 à 20 mètres, avec différents types de jets : pluie fine, brume légère ou jet plus concentré. Facile à utiliser et à installer, il convient aussi bien à des pelouses qu’à des massifs, dès lors que la pression est suffisante.
L’arroseur oscillant
Composé d’une rampe qui oscille de gauche à droite, cet arroseur projette de fins jets d’eau en éventail. Il est parfait pour les surfaces rectangulaires, notamment les pelouses. Sa portée est généralement réglable en longueur et en largeur. Certains modèles intègrent une minuterie, pratique pour des zones sans programmateur. En revanche, sur des jardins de formes irrégulières, il peut y avoir perte d’eau ou zones mal couvertes.
L’arroseur canon
C’est l’arroseur des grands espaces. Il projette l’eau par saccades puissantes sur de très grandes distances. Fréquemment utilisé en milieu agricole, il peut néanmoins convenir à de très vastes jardins. Sa portée est réglable, mais son débit important le rend peu adapté aux petits espaces ou aux massifs délicats.
L’arroseur multisurfaces
Ce type d’arroseur offre une grande flexibilité. Grâce à des réglages simples, vous pouvez l’adapter à différentes formes de jardin : rond, carré, ellipse, rectangle… Il convient parfaitement aux jardins aux géométries complexes et permet une gestion précise de l’arrosage, même en surface.
Les tuyaux arroseurs
Il s’agit de tuyaux souples perforés, qui diffusent une pluie fine sur toute leur longueur. Placés directement sur le sol ou légèrement enfouis, ils permettent un arrosage homogène, idéal pour les longues bandes végétales, les haies ou les rangs de potager. La pression modérée assure une diffusion douce, sans abîmer les plantes.
Les arroseurs fixes et enterrés
Les tuyères
Ce sont de petits asperseurs fixes, intégrés dans un réseau enterré. La buse sort légèrement du sol pour projeter une pluie fine sur une zone circulaire ou semi-circulaire de 2 à 5 mètres. Ce système est particulièrement adapté aux petits espaces, massifs, bordures ou zones complexes. Attention : la pression est limitée, ce qui restreint la portée.
Les turbines
Plus puissantes que les tuyères, les turbines sont également fixées sur un réseau enterré mais permettent d’arroser de plus grandes surfaces, jusqu’à 10 mètres ou plus. Elles sont parfaites pour les grandes pelouses. Il est essentiel de ne pas mélanger tuyères et turbines sur un même réseau, car leurs besoins en pression et débit sont différents.
Les systèmes pour les réseaux à basse pression
La micro-aspersion
Ce système envoie une fine brume d’eau à basse pression, via de petits asperseurs. Très douce, cette méthode est idéale pour les plantes buissonnantes, les arbustes ou les jeunes plants sensibles. Elle respecte la structure des feuillages tout en assurant une bonne hydratation. Son installation est simple et particulièrement économique en eau.
La micro-irrigation
L’arrosage goutte-à-goutte est une solution très précise et efficace, notamment pour les potagers, les massifs fleuris et les haies. Il existe deux types de systèmes :
Les tuyaux poreux : Ils laissent s’échapper l’eau lentement sur toute leur longueur, en surface ou légèrement enterrés. Cela permet un arrosage constant au pied des plantes. Ce système limite l’évaporation et évite que les feuilles ne soient mouillées, réduisant ainsi les maladies. On privilégiera leur usage sur de longues distances ou lignes droites.
Les goutteurs : Chaque goutteur est placé au pied d’une plante et libère l’eau de façon ciblée. Le débit peut être ajusté selon les besoins spécifiques. La pose nécessite un peu de planification, mais le résultat est extrêmement efficace, notamment dans les jardins variés où chaque plante a ses exigences.
Quels arroseurs choisir pour un arrosage adapté à votre jardin ?
Les arroseurs pour les réseaux à pression normale
L’arroseur rotatif
Fixé au sol, en bout de tuyau, l’arroseur rotatif projette l’eau en tournant sous la pression du réseau. Il couvre une zone circulaire ou semi-circulaire, réglable selon le modèle. Il peut arroser une surface de 4 à 20 mètres, avec différents types de jets : pluie fine, brume légère ou jet plus concentré. Facile à utiliser et à installer, il convient aussi bien à des pelouses qu’à des massifs, dès lors que la pression est suffisante.
L’arroseur oscillant
Composé d’une rampe qui oscille de gauche à droite, cet arroseur projette de fins jets d’eau en éventail. Il est parfait pour les surfaces rectangulaires, notamment les pelouses. Sa portée est généralement réglable en longueur et en largeur. Certains modèles intègrent une minuterie, pratique pour des zones sans programmateur. En revanche, sur des jardins de formes irrégulières, il peut y avoir perte d’eau ou zones mal couvertes.
L’arroseur canon
C’est l’arroseur des grands espaces. Il projette l’eau par saccades puissantes sur de très grandes distances. Fréquemment utilisé en milieu agricole, il peut néanmoins convenir à de très vastes jardins. Sa portée est réglable, mais son débit important le rend peu adapté aux petits espaces ou aux massifs délicats.
L’arroseur multisurfaces
Ce type d’arroseur offre une grande flexibilité. Grâce à des réglages simples, vous pouvez l’adapter à différentes formes de jardin : rond, carré, ellipse, rectangle… Il convient parfaitement aux jardins aux géométries complexes et permet une gestion précise de l’arrosage, même en surface.
Les tuyaux arroseurs
Il s’agit de tuyaux souples perforés, qui diffusent une pluie fine sur toute leur longueur. Placés directement sur le sol ou légèrement enfouis, ils permettent un arrosage homogène, idéal pour les longues bandes végétales, les haies ou les rangs de potager. La pression modérée assure une diffusion douce, sans abîmer les plantes.
Les arroseurs fixes et enterrés
Les tuyères
Ce sont de petits asperseurs fixes, intégrés dans un réseau enterré. La buse sort légèrement du sol pour projeter une pluie fine sur une zone circulaire ou semi-circulaire de 2 à 5 mètres. Ce système est particulièrement adapté aux petits espaces, massifs, bordures ou zones complexes. Attention : la pression est limitée, ce qui restreint la portée.
Les turbines
Plus puissantes que les tuyères, les turbines sont également fixées sur un réseau enterré mais permettent d’arroser de plus grandes surfaces, jusqu’à 10 mètres ou plus. Elles sont parfaites pour les grandes pelouses. Il est essentiel de ne pas mélanger tuyères et turbines sur un même réseau, car leurs besoins en pression et débit sont différents.
Les systèmes pour les réseaux à basse pression
La micro-aspersion
Ce système envoie une fine brume d’eau à basse pression, via de petits asperseurs. Très douce, cette méthode est idéale pour les plantes buissonnantes, les arbustes ou les jeunes plants sensibles. Elle respecte la structure des feuillages tout en assurant une bonne hydratation. Son installation est simple et particulièrement économique en eau.
La micro-irrigation
L’arrosage goutte-à-goutte est une solution très précise et efficace, notamment pour les potagers, les massifs fleuris et les haies. Il existe deux types de systèmes :
Les tuyaux poreux : Ils laissent s’échapper l’eau lentement sur toute leur longueur, en surface ou légèrement enterrés. Cela permet un arrosage constant au pied des plantes. Ce système limite l’évaporation et évite que les feuilles ne soient mouillées, réduisant ainsi les maladies. On privilégiera leur usage sur de longues distances ou lignes droites.
Les goutteurs : Chaque goutteur est placé au pied d’une plante et libère l’eau de façon ciblée. Le débit peut être ajusté selon les besoins spécifiques. La pose nécessite un peu de planification, mais le résultat est extrêmement efficace, notamment dans les jardins variés où chaque plante a ses exigences.
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